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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 12:19
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2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 12:32
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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 10:58

Vagues déferlante au large du Finistére sur les phares breton lors des tempêtes en 2014.

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 10:42

Saint-Malo est connu pour avoir l'une des plus grande marées d'Europe ou du moins les plus impressionnante. J'ai déjà eut l'occasion d'en voir une et c'est toujours impressionnant le long de la Chaussée du Silon. Cette vidéo trouvé sur Youtube le montre bien.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 20:24
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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 17:00

Appelez les des "Bretilliens" ! Il n'y a pas d'accent sur le «e», mais prononcez «Brétilliens». C'est le nouveau nom des habitants du département d'Ille-et-Vilaine, qui en étaient dépourvus jusqu'à maintenant. Ce jeudi après-midi, les 53 conseillers généraux rassemblés en séance plénière à Rennes ont procédé au vote officiel qui a décidé du fameux «gentilé», l'appellation officielle.


Les élus départementaux devaient trancher entre Bretillien ou Haut-Breton, les deux propositions finales soumises au vote des élus par le comité des experts qui planchaient sur le sujet depuis le mois de février. A l'issue d'un débat animé, Bretillien contraction de Breton et de Illien l'a emporté par 38 voix, contre 12 suffrages en faveur de Haut-Breton, 2 abstentions et 1 refus de vote.

Cette initiative lancée par le président PS d'Ille-et-Vilaine n'était visiblement pas du goût de l'opposition. «Il existait déjà une association des communes au nom burlesque, notre département sera le premier à avoir un gentilé ridicule» a fustigé Isabelle Le Callennec, députée UMP, conseillère générale de Vitré-Est.

«Haut-Breton» aurait pu froisser les voisins…

Les partisans de Haut-Breton ne manquaient pas d'arguments. Mais la dénomination aurait pu froisser des voisins sourcilleux qui auraient pu prendre ombrage de ce qualificatif de supériorité... «Haute-Bretagne, tout le monde comprend. On nous dit que ça pourrait poser problème à nos voisins finistériens. Je ne vois pas pourquoi, a déploré Jean-Marc Lecerf, conseiller général (MoDem) du canton de Janzé. La Haute et la Basse Normandie, le Haut et le Bas Rhin existent, sans que ça fasse débat. Moi, Bretillien me fait penser à Brétigny-sur-Orge (NDLR : Essonne)…»

Le coût de l'opération en cette période de crise a agacé l'opposition. «Cette affaire a coûté 30 000 € pour le moment. On aurait pu utiliser ces crédits autrement», a déploré Marie Daugan, conseillère générale (UMP) de Montauban-de-Bretagne. Une sortie qui a provoqué l'ire de Christophe Martins, conseiller général (PRG) d’Iffendic. Celui-ci a tenu à rassurer le contribuable bretillien : «Mais non, cette histoire ne nous coûte rien. Qu’est-ce que 30 000 € sur un budget d’un milliard ? Et non, on ne réimprimera pas nos documents officiels».

Pour le président (PS) du conseil général, Jean-Louis Tourenne, pas question de reléguer le choix du gentilé à une opération folklorique. Pour l'élu il en va carrément du « vivre ensemble ». «Partager un nom relie et rassemble. C’est un facteur d’intégration, de cohésion. C’est aussi une source de fierté d’appartenance à un territoire», estime le patron de l'Ille-et-Vilaine.

Une opération poussée par un quotidien régional

Choisir un gentilé n'est cependant pas venu à l'esprit des élus d'Ille-et-Vilaine tout seul. C'est le quotidien Ouest-France qui leur a quelque peu forcé la main en lançant lui même une consultation auprès de ses lecteurs. Un mini-référendum qui a poussé le conseil général à reprendre les choses en main.

C'est ainsi qu'un comité d'experts «constitué de 12 personnalités représentatives de la richesse des femmes et des hommes d’Ille-et-Vilaine», explique le département, a repris les propositions de la consultation Ouest-France et travaillé sur ses propres options avant de les soumettre aux élus. A la tête de ce think-tank breton, un pro de la communication : «Jacques Delanoë, président du Stade rennais et co-fondateur de l’agence de communication Euro RSCG, qui fut l’un des artisans du changement de nom des Côtes d’Armor (ex Côtes du Nord, NDLR)», souligne-t-on au conseil général.

Reste maintenant aux Bretilliens à s'approprier leur nouvelle identité...

Le Parisien

Moi ce que j'en pense de tout cà ? Bah j'ai bien fait de m'exilé dans le finistére pour être un finistérien parce que j'aurais honte de porté le nom de "bretillien".

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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 12:29

Elle est là, immense et magnifique. Elle prend mille visages. Pour découvrir la rade et apprécier sa richesse, il faut savoir prendre son temps.

Allons faire un petit tour autour de la rade de Brest. Ici, on dit, non sans fierté, qu'elle est la plus belle du monde. Avec ses 150km², elle est l'une des plus vaste du monde et pour ce qui est de sa beauté, il est vrai qu'il y a de quoi s'émerveiller et s'étonner.



L'eau souvent limpide, les voiles qui se déploient, les bateaux de pêche partant du Tinduff à Plougastel ou de Porzh Beac'h à Logonna, les anses, les criques, les endroits cachés, les parcs à huîtres, les coquillages et les coquilles de Saint-Jacques à la réputation si fameuse, les vieux gréements et parfois les navires militaires sont autant de richesses à découvrir que l'on soit de passage ou que l'on soit d'ici.


Car qui peut prétendre connaître les moindres recoins de cette rade immense dont l'entrée se fait à l'ouest dans le goulet entre la pointe du Portzic et la pointe des Espagnols? Bien peu de gens en vérité.
Lorsque le soleil joue à cache-cache avec les nuages, lorsque la lumière du couchant embrase le paysage, c'est tout simplement magnifique.

Difficile de citer tous les points de vue, tant ils sont nombreux: le vieux pont Albert Louppe qui marque l'entrée de l'Elorn et domine majestueusement la rade face au port du Moulin-Blanc, la presqu'île de Plougastel avec ses anses, ses pointes, ses ports de l'Auberlac'h ou du Tinduff, la plage du Portzic et ses passionnés de surf, Landevennec et son abbaye, la presqu'île de Crozon...
N'hésitez pas à vous perdre sur les petites routes, allez au gré de vos envies et au détour d'une route ou au bout d'un chemin, vous vous laisserez envahir par la beauté d'un lieu.

 

Quelques photos prise sur la rade par moi même:

 

Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
Rade de Brest
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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 13:27

Biographie

Cécile Corbel est née à Pont-Croix dans le Finistère en 1980. Elle découvre la harpe celtique à l’adolescence lors d’un concert de la harpiste grecque Elisa Vellia au Cap Sizun, et suit ensuite des cours avec cette dernière. À 18 ans, après avoir obtenu un bac S, elle déménage à Paris pour y suivre des études. Elle entre alors à l’École du Louvre, et y décroche un DEA en archéologie.
Elle fait ses débuts en jouant dans des pubs ou des rues de la capitale, et se produit pour la première en 2002 dans un pub, le Ti Jos.


Débuts professionnels

En 2005, elle sort un premier 6 titres, puis signe avec la maison de disques Keltia avec qui elle sort en 2006 son premier disque, Songbook vol 1, où figurent des airs bretons, gallois, et irlandais. Elle commence à faire des tournées, y compris à l’étranger, comme à Adélaïde où elle partage en 2006 l’affiche avec Yann Tiersen et Matmatah, et fait des première parties de concert, comme celui d’Alan Stivell à Reims, ou ceux de Laurent Voulzy à l’Olympia.
En 2008 sort Songbook vol 2. Elle compose pour la première fois 10 des 12 morceaux que compte l'album.
Elle participe en 2009 au projet d’opéra rock Anne de Bretagne, dans lequel elle incarne le rôle éponyme. L’auteur compositeur Alan Simon choisit Cécile Corbel après avoir eu des difficultés à trouver quelqu’un pour jouer ce rôle. Dans ce projet, elle incarne le rôle d’Anne de Bretagne, duchesse de Bretagne et reine de France, aux côtés d’autres musiciens comme Tri Yann, ou Fairport Convention. Le spectacle se tient fin juin 2009 au Château des ducs de Bretagne à Nantes, précédé par un album auquel elle participe avec 200 autres musiciens.

Travail avec le studio Ghibli

À l’occasion de la sortie de son album Songbook volume 2, elle envoie un exemplaire de celui-ci au Studio Ghibli pour les remercier de la source d’inspiration qu’ils représentent alors pour elle. Cet exemplaire parvient à Toshio Suzuki, le producteur en chef de Arrietty, le petit monde des chapardeurs, au moment où son équipe cherche une musique pour ce film, alors en production. Des contacts sont alors pris, et une partie de l’équipe japonaise du film se déplace à l’un de ses concerts dans le Berry. Le 16 décembre 2009, le Studio Ghibli annonce officiellement que Cécile Corbel cosigne le thème musical de son film Arrietty, le petit monde des chapardeurs, sorti en 2010 au Japon. Il s’agit alors de la première participation d’un artiste étranger à la bande-son d’un film de ce studio. La participation qui devait initialement se limiter à une chanson s’est progressivement élargie à plusieurs chansons pour aboutir à la totalité de la musique du film. Les morceaux, d’inspiration bretonnes et orientales sont enregistrés à Paris avec une douzaine de musiciens.

Sources: Wikipedia

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 20:35

A mi-chemin entre Lorient, Pontivy et Ploërmel, en pleine campagne. Quelque part du côté de Baud. Sur les hauteurs, en lisière de fôret. Là, se trouve une grande pierre plate, particulièrement travaillée. Au centre, deux trous conjoints ont été creusés, de forme très particulière: il s'agit de pouvoir placer un corps dans le plus grand des deux. L'autre, plus petit, rond, pour reposer la tête. Entre les deux, une rigole, qui permet de recueillir...le sang!

Cette pierre sacrificielle est un vestige de l'ère druidique. Ces ministres de la religion, particulièrement influent dans la société, étaient très implantés en Bretagne depuis l'arrivée des Celtes.

Le nom druide vient de "dru-wides", qui signifie "trés brillant", "trés savant", ou encore "trés voyant". En effet, les druides exercent la fonction de prêtre mais également de chaman et de guérisseur, connaissant les secrets des plantes et des animaux. Les connaissances des druides évoluent au fil du temps de par leur mode de transmission (oral), chacun ajoutant son expérience à celle des autres druides.

Dans l'antiquité, l'enseignement druidique est dispensé au sein des "écoles buissonnières" qui ont à l'époque le sens "d'école sylvestre" et non la signification actuelle... Leur grand savoir fait aussi des druides des ambassadeurs ou conseillers occasionnels (il est dit que "nul ne parle avant le roi, mais le roi ne parle pas avant son druide"), ou encore des juges impartiaux, usant de leur sagesse pour régler les conflits.
Ils sont en outre les seuls à avoir le droit de pratiquer les sacrifices humains (très occasionnellement, souvent des prisonniers de guerre) ou animaux.

Aujourd'hui, les druides n'ont pas complètement disparu...Bien sûr, certains rites ont été abandonnés depuis longtemps (comme les sacrifices !) mais la tradition perdure grâce à quelques irréductibles. Des amoureux de la spiritualité et de la nature qui se retrouvent toujours pour partager leurs secrets, notamment dans certaines sociétés fort discrètes telles que le Gorsedd de Bretagne fondé en 1899.

 

 

 

 

Les druides
Les druides
Les druides
Les druides
Les druides
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Les druides
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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 19:06

Le voyageur qui se promène dans les sous-bois de Bretagne peut être amené à faire de bien étranges rencontres. Au détour d'un buisson, un lutin peut apparaître, seul, ou avec ses compagnons. Qu'on les nomme pou piquets, kormandons, ou le plus souvent korrigans (du breton "korr" qui signifie "nain"), ces esprits sont légion.

Ils peuvent être bienveillants ou malfaisants. Leur apparence peut varier, mais ils sont aisément reconnaissables à leur petite taille, leur laideur légendaire, leur chevelure hirsute sous un chapeau plat à ruban de velours, et leurs yeux rouges très lumineux.
Il faut prendre garde à ne pas s'attarder sur ce regard, car c'est là que réside leur pouvoir d'ensorceler les hommes, que ce soit en vue d'une farce, d'un piège mortel, ou d'empêcher la découverte d'un trésor secret caché dans les collines.

Les korrigans affectionnent particulièrement les fontaines et les sources, aux abords desquelles ils allument parfois de grands feux. Celui qui les dérange pendants leurs fêtes et danse nocturnes se verra peut-être proposé un défi. S'il réussit à le relever, un voeu peut lui être accordé. Mais s'il échoue, il peut être envoyé directement en enfer ou dans une prison souterraine dont nul n'est jamais revenu.

Tous les 31 octobre (pour la fête de Samain, le nouvel an celtique ayant donné plus tard halloween), les korrigans s'aventurent non loin des dolmens, et tentent d'entraîner les vivants dans le monde souterrain, pour apaiser les morts. Les souterrains sont le royaume de ces lutins, ils y sont nés, et il est dit qu'ils y retournent pour mourir, car leur âge a beau être un mystère, ils n'en sont pas moins des êtres mortels.

On peut aussi les apercevoir à proximité des églises, jouant des tours pendables aux ecclésiastiques, ce qui a fait d'eux le symbole de la résistance bretonne face à la christianisation, là où la légende rejoint l'histoire.

 

Les Korrigans
Les Korrigans
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